Corps Étrange.r

Un spectacle à fleur de peau pour explorer le rapport au corps à l’adolescence

Le Collège Saint-André à Auvelais et le Brocoli Théâtre collaborent depuis une vingtaine d’années autour de projets théâtraux mettant à l’honneur la parole des adolescents.

Fortes des succès de leurs spectacles « Je l’aime, un peu beaucoup » et « Brut(es) de décoffrage », les deux structures renouvellent leur collaboration en 2024 pour créer « En Corps », un nouveau spectacle qui abordera la thématique du rapport au corps à l’adolescence.

Cette année, l’équipe qui encadre la création se renouvelle et se compose de Maïté Renson (Brocoli Théâtre), de Maurice Lambiotte (Collège Saint André) et David Vernaillen (Brocoli Théâtre).

Basé sur des témoignages et des questionnements amené par le groupe d’élèves de 5ème et 6ème du cours d’Arts d’expression, le spectacle se compose de différents tableaux illustrant différentes problématiques liées au corps (consentement, troubles du comportement alimentaire, cyber harcèlement, grossophobie…)​​

SANs toit je crEVE

Dans une grande ville, une grande maison,
Avec de petits appartements.
Et dedans, des petites gens qui mènent leur petite vie,
Des gens qui, tant bien que mal, font leur petit possible.
Dehors, il pleut. Beaucoup. Souvent. De plus en plus.
Un jour, douche froide : leur maison est à vendre.
C’est la goutte de trop. Et tout déborde…
“ De l’eau jaillit le feu ”

Perdus de vie

Nous avons tous perdu ce petit quelque chose qui nous tenait le cœur en haleine.

Réfugiés chez Georges qui ne sait plus où nous héberger, nous trouvons un petit coin où nous blottir. Mais même si sa maison est grande, son hospitalité a des limites. Il ne peut accueillir tous les malheurs du quartier. Il lui faudra bien se débarrasser de ces intrus.

Mais rassurez-vous, tout n’est pas perdu.

Nos cœurs restent vaillants.

FragileS

« Sur scène, cinq hommes et cinq femmes…
Chacun, chacune cherche sa place dans un monde instable, au milieu de pressions familiales, sociales ou professionnelles parfois écrasantes.
Chacun, chacune incarne à sa manière notre sensible et fragile humanité. »