Un cheveu dans la soupe

Un collectif de femmes se retrouve dans une cuisine pour préparer une… dernière soupe.

Elles préparent, en direct devant les spectateurs, un délicieux potage à déguster en fin de représentation…
Durant la préparation, elles nous racontent les histoires d’enfances, de couples, de familles.  Elles nous chantent des chansons.  Les légumes et les casseroles se mettent à danser…
Et elles nous interrogent sur les rapports entre les femmes et les hommes.
La cuisine,  dernier bastion de l’inégalité hommes-femmes ?
Un spectacle à déguster bien chaud !

La valse des étiquettes

Le collectif Sans Garde Fou rassemble des citoyens qui ont l’envie folle de faire valser les étiquettes à propos des « malades mentaux », comme on dit chez nous !

13 comédien(ne)s montent sur scène pour parler de leur vécu en psychiatrie, qu’ils soient patients ou professionnels. Humour et émotion tentent de questionner chacun de nous à propos du regard que l’on porte sur la maladie mentale, de la relation avec nos proches et du monde – particulier et quotidien – de la psychiatrie.

Je suis pauvre, et alors ?

Le titre de cette pièce parle de lui-même. Cette oeuvre est axée sur la thématique de la pauvreté avec tout ce que le sujet peut impliquer : exclusion, marginalisation, etc.

DEs petites histoires de débrouillardise. Si nous voulons partager la beauté du monde, être solidaire de ses souffrances, nous devons apprendre à nous souvenir ensemble…

La pauvreté est un sujet universel :
en 2014, elle touchait 15,5 % de la population belge. Et les statistiques prévoient une hausse des pourcentages pour les années à venir.
Le théâtre-action, pour ces comédiens concernés par la problématique, s’est révélé être un véritable moyen d’inclusion. En racontant leur histoire, ils se sont fait une place au sein d’un groupe, ont pris conscience de leurs capacités et confiance en eux.
La pièce « Je suis pauvre et alors ? » parlera à tous ceux qui se questionnent sur notre société et ses problématiques actuelles.

La vie est une maladie mortelle

Un défilé d’estropiés du corps et de la vie dans un hôpital imaginaire. Avec beaucoup d’humour et de dérision, cette création collective dévoile ce qui menace d’être la devise des hôpitaux en Belgique : « patient pour l’horaire,
client pour l’honoraire ».

Sous les chômières

Deux comédiens, quatre tableaux, de séquences en séquences, ils nous emmènent dans un parcours de vie, le nôtre, le leur,… Une vie parfois semée d’embûches.
Chacun des tableaux aborde différentes situations vécues par une personne sans emploi, avec ses préoccupations, ses difficultés à surmonter son quotidien, ses doutes, ses questionnements, mais aussi avec ses rêves à construire pour demain.
Le fond et la trame, à travers l’écriture et la mise en scène, font en sorte d’impliquer le spectateur, de faire réagir le public et de l’inciter à participer et à intervenir.

Le spectacle permet au public d’intervenir pendant ou après chaque scène afin, soit de prendre la place de l’un ou l’autre personnage soit de questionner les personnages, continuer l’histoire, trouver une autre issue, une réplique, …
Le spectacle et l’échange avec le public questionnent sur le monde du travail, les craintes, ses comportements, sur comment surmonter des obstacles et les vaincre, s’interroger sur son projet professionnel.
Les interventions avec le public permettent aux spectateurs de se questionner sur le statut du demandeur d’emploi, de s’imaginer un projet de vie, du chemin à parcourir pour construire un rêve, y croire, de se questionner sur un entretien d’embauche, faire une formation, pour quoi faire ? Trouver un travail, comment, pourquoi ? S’interroger sur la réalité du marché, oser franchir le pas, la porte…
Possibilité de 3 ateliers avec les spectateurs après la représentation (écriture, théâtre, jeux de rôles, à la demande, …)

Eau de vie

Avec ce projet, Éric, avec la complicité de son ami et metteur en scène Yvon François de la compagnie Alvéole Théâtre, souhaite informer sur les dangers de l’alcool mais aussi délivrer un message rempli d’espoir : “C’est un sujet qui m’a beaucoup touché, forcément ce dont je vais parler est lourd et grave mais j’ai voulu aussi mettre de moi dans cette pièce. Les gens qui me connaissent savent que j’adore rire et faire le fou, “Eau de Vie” combine donc ces deux aspects et j’aimerais que le public soit traversé par plein d’émotions différentes“.